Troubles gastriques.
Digestion optimale et aisée,
Ingrédients d’origine naturelle et labélisée Bio.
Toutes maladies liées à la digestion.
Flacon 50 ml
Utiliser toujours nos produits sur l'avis d'un thérapeute
GASTRO'REGUL - Laboratoires SFB
Nombre de flacons nécessaires : 3 flacons
Ingrédients pour 40 gouttes (1,5 ml) :
Macérat de Brassica Oleracea.
Poids Net : 50 ml
Conseils d’Utilisation :
20 gouttes 2 fois par jour à jeun dans 1/3 de verre d’eau (le matin de préférence au lever et le soir 15 mn avant le dîner)
Ce produit n'est pas un médicament mais un complément alimentaire à consommer dans le cadre d'un régime alimentaire varié et équilibré. Ne pas dépasser la dose journalière indiquée. Tenir hors de portée des jeunes enfants. Conserver à l'abri de la chaleur.
Conseils complémentaires:
Il est important de combiner au Gastro'Regul un rééquilibrage de votre alimentation :
- en mangeant lentement et en mastiquant longtemps
- en évitant de boire pendant les repas ce qui dilue les acides et enzymes digestifs et les rend moins efficaces
- en évitant les boissons glacées et/ou gazeuses et acidifiantes (limonades, sodas)
- grâce à une alimentation légère (pas trop grasse)
- grâce à une alimentation naturelle et non épicée
- en cas d’hyperacidité privilégier une nourriture riche en fruits (bananes, melons) et en légumes alcalinisants et doux comme les pommes de terre
- en supprimant les aliments acidifiants comme l'oseille, la rhubarbe, les oranges, les oignons crus, l’ail…
- en réduisant le chocolat, les pâtisseries en général et les aliments contenant des sucres raffinés et artificiels
- en évitant la consommation de café, de thé ou d'alcool
- en mangeant au moins 2 heures avant le coucher
- en diminuant votre taux de stress (professionnel, familiale, environnemental,…)
24/07/2014 - Par Samantha Pagès
L'hiver est une saison pauvre, en soleil, en fruits, en légumes… le chou fait partie de ces saisonniers qui ont tout pour vous aider à surmonter une période de froid et une infinie variété de problèmes de santé. Il a été un des aliments de base de l’alimentation hivernale durant des décennies tant il est facile à cultiver. Mais il n’est plus en grâce désormais dans nos cuisines. Car on a oublié que nos aînés aimaient à répéter que le chou est le médecin du pauvre. Et on sait aujourd’hui qu’ils avaient raison.
Le soufre, trésor maudit
Si le chou a été détrôné par d’autres légumes dans notre alimentation hivernale, c’est en grande partie à cause de sa richesse en soufre dont l’odeur se répand lors de la cuisson. Jugée déplaisante, elle s’accorde mal avec nos intérieurs proprets et parfumés. Pourtant, le soufre est essentiel au fonctionnement de l’organisme : il est indispensable au transport de l’oxygène à travers la membrane cellulaire et, en facilitant celui-ci, il permet la régénération des cellules ; il est également un précurseur pour l’utilisation des acides aminés qui représentent les briques servant à la construction de l’organisme (70 % des acides aminés sont issus du soufre). L’action fondamentale de ce métalloïde se traduit, en cascade, par une étonnante diversité de propriétés thérapeutiques qui ont valu au chou sa réputation de remède à tout faire. Il préserve l’intégrité de la muqueuse respiratoire et il est indiqué en cas de bronchite aiguë ou chronique, de simple toux et même d’allergie respiratoire. Il agit sur le foie en le débarrassant de ses toxines, ce qui améliore ses fonctions de filtre épurateur de l’organisme. Il facilite la formation des protéines basiques des cheveux, de la peau et des ongles : le collagène et la kératine. La peau est plus belle et elle cicatrise mieux. Il fixe le calcium sur l’os et il est utile aux cartilages ce qui réduit les douleurs rhumatismales. Il favorise la remontée du taux d’hémoglobine ce qui en fait un aliment de choix des anémiés et des convalescents. C’est aussi un remarquable cicatrisant gastro-intestinal qui a fait ses preuves dans les colites simples ou ulcéreuses et dans l’ulcère de l’estomac. Même les parasites intestinaux (oxyures, ascarides) craignent son action car, en accélérant la régénération de la paroi intestinale, il la « lisse », ce qui empêche les parasites de s’y accrocher. Enfin, les déficits de l’attention, l’hyperactivité mentale, la dépression et les changements d’humeur sont améliorés par une consommation régulière de choux. Quand on a sous la main un tel remède, on se dit que l’on devrait passer outre aux problèmes de mauvaises odeurs !
Des vitamines rares en hiver
L’action en profondeur du chou, due au soufre, est potentialisée par sa richesse en vitamines qui ont pour caractéristiques communes d’entretenir l’état de santé de nos cellules et que l’on trouve généralement dans les fruits et légumes d’été.
-La vitamine C freine le vieillissement des cellules, favorise la formation du collagène (constituant principal des cartilages et de la peau), et accélère la cicatrisation
-La vitamine B9 (ou acide folique) est un coenzyme pour la synthèse de l’ADN et de l’ARN, ce qui la rend essentielle pour la croissance normale et le maintien des cellules.
-La provitamine A protège l’intestin et les voies respiratoires et traite les affections dermatologiques telles que l’acné.
-La vitamine E protège les cellules des radicaux libres.